PORTFOLIO ARTICLES DE PRESSE

Spécialités : presse métropole lilloise, presse euro-région Nord-Pas de Calais et presse franco-allemande
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jeudi 26 novembre 2015

ARCHIVES 2009// LITTERATURE RENCONTRES.DE


 
"Trois femmes puissantes, prix Goncourt 2009: le tiercé gagnant de Marie Ndiaye" paru le 15 juin 2010 sur Rencontres.de
Trois femmes puissantes prix au Goncourt 2009 est le dernier cri d’amour des médias, du jury et du grand public. La plume de Marie NDiaye esquisse le portrait intime et nuancé de femmes malmenées par leur père, leur mari ou leur amant. Elles déjoueront vaillamment leur destinée.
Marie NDiaye se glisse dans les consciences de Trois femmes puissantes, de Norah l’avocate, de Fanta une mère au foyer et de Khady Demba une veuve orpheline. Le boomerang du passé frappe et fracasse les certitudes de ces personnages rongés par le remords, les actes manqués et la rancune.
Ces trois histoires parlent de femmes rattrapées par un passé douloureux et obsessionnel. Norah dépasse cette douleur. Fragilisée par la destruction de sa famille, Norah s’est relevée de ce manque affectif, avec une carrière d’avocate accomplie et un trois pièces à la Goutte d’Or. D’autres comme Fanta se murent dans le silence. Son arrivée en France a avorté son ascension sociale. Sa vie de femme épanouie, d’ancien professeur de français a viré à la vie d’une femme coupée de tout élan vital. Khady Demba, elle, rêvait fiévreusement d’un enfant. La mort de son mari fait vaciller son projet. Poussée à quitter le continent, Khady Demba tombe dans la prostitution pour monnayer ses passeurs. Ces trois femmes parviendront différemment à conjurer leur sort.

Marie NDiaye, happée par les médias et la vie à Berlin

Lundi 2 novembre, la romancière remporte au premier tour, le Prix Goncourt, par cinq voix contre trois.

samedi 29 juin 2013

Hambourg vs Lille/Sorties

   Heide, ex-Hambourgeoise, aujourd'hui Lilloise, donne son approche des deux villes. 
 

 Hambourg et Lille, qu'ont-elles de différent ?  Hambourg est immense ! D'un point à l'autre de la ville, on ne peut se déplacer sans prendre le tram, le métro ou le bus. De mon ancien quartier de Barmbek, il me fallait au moins une demi-heure pour joindre la zone commerciale. Lille est une ville à taille humaine, de proximité, sympa, familial. J'y reconnais même Brême, ma ville d'origine, où à dix minutes de chez soi, on a de quoi faire. Hambourg, c'est l'Hafencity (ndrl:le quartier du port), l'eau, les ponts, partout. J'ai trouvé en échange la Citadelle, les canaux. Du moment qu'il y ait de l'eau, cela me va!

mercredi 5 décembre 2012

Métropole lilloise / Sorties / Ski

"In Ski we trust ?" - paru le 29 novembre 2012

C'est de saison // Une idée de sortie "artificielle" mais une idée de sortie quand même que nous partage Anne-Hélène, originaire d'Annecy et lilloise depuis le printemps dernier. Que pense la pro, ancienne monitrice de ski, rodée au vin chaud, aux "small talks" dans les télécabines, aux préparatifs sur les parkings, des pistes du coin ? Rencontre et verdict.

A Lille depuis moins d'un an et déjà un premier tour de pistes, quelles sont celles que tu as testées ? Pour l'instant, j'ai testé 2 sites, Ice Mountain à Comines (à 30 minutes) et SnowWorld aux Pays-Bas (à 2h30). Sur Ice Mountain on compte deux pistes et pas mal de snowboarders qui ont leur espace. C'est de la neige à canons donc plus dure, tout comme les chutes ! On y retrouve l'esprit montagnard que je connais avec le restaurant de spécialités de fromages. Le site de SnowWorld comporte 5 pistes dont une rouge, des pistes pour débutants, un télésiège, un petit chalet,... Avec le grand self et le centre commercial, c'est le Disneyland du ski ! La température y est plus froide qu'au dôme d'Ice Mountain, -7° contre -2°.

Métropole Lilloise / Gastronomie / Mamie Julie

Mamie Julie, "jeune" gaufre qui se lance - paru le 21 novembre 2012

C'est une nouvelle venue dans la Métropole Lilloise, elle s'appelle Mamie Julie et cherchera d'ici la fin de l'automne à se faire un nom dans le rayon de la gastronomie locale. Fabriquée par Tanguy et son beau-père maître artisan, cette gaufre fine à la cassonade bien du Nord part à la conquête de nos quartiers pour une mise en vitrine fin novembre-début décembre dans trois adresses du coin.
Quelle est l'histoire de Mamie Julie ? Des biscuit, tout le monde en a dans son placard, des gaufres moins. J'ai commencé à apporter les gaufres que faisait mon beau-père à des amies, à des membres de ma famille et rapidement, le réseau "d'amis d'amis" s'est mis en place pour nous retrouver face à un afflux de demandes. On a décidé de lancer le projet l'hiver dernier.

Métropole lilloise / Voyages / Pop in the City

"Carnet de voyage à Porto" publié le 5 septembre 2012 

Où sera le prochain Pop in the city, le raid féminin urbain monté par 3 filles Clémentine, Sophie et Marie? En attendant, retour sur Porto, 1ère édition, avec Emilie (à droite) et sa coéquipière Anne,  qui raconte le jour et les heures avant la course. Ambiance trekking ! 

 
J-1/Dans l'avion, au départ de Beauvais, on devine déjà de nombreuses popeuses. L'indice, c'est simple, deux filles avec  bagages à main et baskets au pied. A l'arrivée, notre premier défi est de trouver notre auberge, récupérer les dossards. Après 40 minutes de métro, nous arrivons au centre, découvrons les rues et le Palacio de Cristal, le point de départ de la course. Il fait chaud et ça monte dur! Nous trouvons  dans une rue, un peu, à l'écart du centre-ville, notre petite auberge. Les chambres sont dispersées sur trois étages, nous sommes au 3 ème. On le sentira à la fin du raid! Au fil de la visite, nous découvrons une salle cinéma

mardi 4 décembre 2012

Eurorégion NPdC / Bruxelles / Guide

"Dans les coulisses des Pintades à Bruxelles" paru le 16 novembre 2012

De l’autre côté de la frontière, des pintades* bruxelloises. D’un fritkot à un autre, d’est en ouest, des abattoirs d’Anderlecht aux puces de Marolles, Elisabeth journaliste à Elle Belgique en connaît. Elle en parle dans « Une vie de Pintade à Bruxelles » de la collection Les Pintades. Une incursion amusante et légère dans le quotidien et les quartiers fétiches de nos voisines.


Elisabeth, comment ce projet d’écriture est-il né ? C’est la rencontre de deux envies, celle de Layla et Laure (ndrl: rédactrices en chef de la collection) qui cherchaient une journaliste connaissant Bruxelles de tous les côtés et moi-même qui adore Bruxelles et rendre compte de ses bonnes choses. Cette ville je l’ai aimée avant même de m’y installer il y a maintenant 15 ans. Une fois sur place, j’ai été séduite par le mode de vie, l’urbanisme, le transport et son côté surréaliste. Pour la réalisation de ce guide j’ai mis à la louche un an entre la réflexion et les prises de rendez-vous.